Entreprise SAINTE BAUME à MARSEILLE
L'année de création de SAINTE BAUME (LE PRETTY), Société à responsabilité limitée (sans autre indication) est 2002, il y a 23 ans. Elle a pour SIREN : 441345493. Son siège social est à MARSEILLE (13010). Le code NAF dont elle dispose est le 5630Z (Débits de boissons). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Informations légales sur SAINTE BAUME
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
(⚠ Aucun établissement en activité)
Observation :
Procédure collective en cours
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Date de création :
21/03/2002
Date mise à jour :
Activité de SAINTE BAUME
Code NAF :
Catégorie :
Restauration
Libellé Code NAF :
Débits de boissons
Nature juridique :
Société à responsabilité limitée (sans autre indication)
Localisation et contacts pour SAINTE BAUME
Adresse postale :
6 RUE SAINTE BAUME
13010 MARSEILLE
13010 MARSEILLE
Département :
Bouches-du-Rhône (13)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
Provence-Alpes-Côte d'Azur
Annonces légales BODACC pour SAINTE BAUME
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 25/12/2011 | Annonce n°227 du Bodacc B n°20110249 | Voir l'annonce |
| 19/02/2012 | Annonce n°70 du Bodacc B n°20120035 | Voir l'annonce |
| 28/11/2013 | Annonce n°1066 du Bodacc Procédures Collectives n°20130229 | Voir l'annonce |
| 03/03/2015 | Annonce n°1584 du Bodacc Procédures Collectives n°20150043 | Voir l'annonce |
| 23/10/2016 | Annonce n°1079 du Bodacc Procédures Collectives n°20160208 | Voir l'annonce |
| 23/10/2016 | Annonce n°1079 du Bodacc Procédures Collectives n°20160208 | Voir l'annonce |
Activités associées au code NAF 5630Z
Services de débits de boissons
Établissements SAINTE BAUME
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 44134549300015 | LE PRETTY | Etablissement fermé le 13/11/2013 | 6 RUE SAINTE BAUME 13010 MARSEILLE | 56.30Z (Débits de boissons) | Unités non employeuses | 21/03/2002 |
