Entreprise MONSIEUR STEPHANE BLYWEERT à VILLENEUVE-D'ASCQ
MONSIEUR STEPHANE BLYWEERT est une Entrepreneur individuel. Le SIREN qui lui a été attribué est le 422264002. Son année de création est 1999, il y a 26 ans. Le siège social est établi à VILLENEUVE-D'ASCQ (le code postal est le 59491). Son code NAF attribué est le 4789Z (Autres commerces de détail sur éventaires et marchés). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Vente de biens mobiliers vente d'occasion non sédentaire.
Informations légales sur MONSIEUR STEPHANE BLYWEERT
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Date de création :
02/04/1999
Date mise à jour :
Activité de MONSIEUR STEPHANE BLYWEERT
Activité principale déclarée :
Vente de biens mobiliers vente d'occasion non sédentaire.
Code NAF :
Catégorie :
Commerce de détail, à l'exception des automobiles et des motocycles
Libellé Code NAF :
Autres commerces de détail sur éventaires et marchés
Nature juridique :
Entrepreneur individuel
Détails de l'activité :
Magasin d'antiquités, Services de déménagement et de stockage
Localisation et contacts pour MONSIEUR STEPHANE BLYWEERT
Adresse postale :
Adresse masquée
59491 VILLENEUVE-D'ASCQ
59491 VILLENEUVE-D'ASCQ
Département :
Nord (59)
Région :
Nord-Pas-de-Calais-Picardie
Téléphone :
Inscrivez-vous pour voir le téléphone
Annonces légales BODACC pour MONSIEUR STEPHANE BLYWEERT
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 21/04/2009 | Annonce n°400 du Bodacc A n°20090077 | Voir l'annonce |
| 31/03/2008 | Annonce n°1737 du Bodacc B n°20080055 | Voir l'annonce |
Établissements MONSIEUR STEPHANE BLYWEERT
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 42226400200029 | MONSIEUR STEPHANE BLYWEERT | Siège | Adresse masquée 59491 VILLENEUVE-D'ASCQ | 47.89Z (Autres commerces de détail sur éventaires et marchés) | Etablissement non employeur | 31/03/2000 |
