Entreprise MONSIEUR RICHARD AUBERIVE à BEAUNE
MONSIEUR RICHARD AUBERIVE, Entrepreneur individuel, immatriculée sous le SIREN 488296781, a été fondée en 2006, il y a 19 ans. Elle est domiciliée à BEAUNE, code postal 21200. Elle a pour code NAF : 4399C (Travaux de maçonnerie générale et gros oeuvre de bâtiment). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment.
Informations légales sur MONSIEUR RICHARD AUBERIVE
Activité de MONSIEUR RICHARD AUBERIVE
Localisation et contacts pour MONSIEUR RICHARD AUBERIVE
21200 BEAUNE
Annonces légales BODACC pour MONSIEUR RICHARD AUBERIVE
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 25/02/2009 | Annonce n°231 du Bodacc B n°20090039 | Voir l'annonce |
Activités associées au code NAF 4399C
Travaux d'étanchéification
Travaux d'échafaudage
Travaux de battage de pieux
Travaux de béton
Travaux de montage d'ossatures métalliques
Travaux de maçonnerie
Travaux de montage sur chantier d'éléments préfabriqués
Travaux de construction spécialisés n.c.a.
Établissements MONSIEUR RICHARD AUBERIVE
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 48829678100047 | MONSIEUR RICHARD AUBERIVE | Etablissement secondaire | Adresse masquée 21200 BEAUNE | 96.09Z (Autres services personnels n.c.a.) | Etablissement non employeur | 01/03/2022 |
| 48829678100039 | A-R PROTECTION | Etablissement secondaire | Adresse masquée 21200 BEAUNE | 80.10Z (Activités de sécurité privée) | Etablissement non employeur | 12/09/2013 |
| 48829678100021 | MONSIEUR RICHARD AUBERIVE | Siège | Adresse masquée 21200 BEAUNE | 43.99C (Travaux de maçonnerie générale et gros oeuvre de bâtiment) | Etablissement non employeur | 02/04/2009 |
| 48829678100013 | MONSIEUR RICHARD AUBERIVE | Etablissement fermé le 24/12/2008 | Adresse masquée 21200 BEAUNE | 43.99C (Travaux de maçonnerie générale et gros oeuvre de bâtiment) | Etablissement non employeur | 01/02/2006 |
