Entreprise MONSIEUR JEAN SOUCRAMANIEN SINGY à SAINT-ANDRE
MONSIEUR JEAN SOUCRAMANIEN SINGY est une Entrepreneur individuel. Elle a pour SIREN 481408847. Elle a été créée il y a 20 ans en 2005. Son siège social est à SAINT-ANDRE (97440). Son code NAF assigné est le 524W (Commerce de détail d'articles de sport et de loisir). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Activité déduite de la reconstitution des données. Il vous est demandé de la reformuler.
Informations légales sur MONSIEUR JEAN SOUCRAMANIEN SINGY
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
(⚠ Aucun établissement en activité)
Observation :
Procédure collective en cours
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Date de création :
01/04/2005
Date mise à jour :
Activité de MONSIEUR JEAN SOUCRAMANIEN SINGY
Activité principale déclarée :
Activité déduite de la reconstitution des données. Il vous est demandé de la reformuler.
Code NAF :
Catégorie :
Commerce de détail et réparation d'articles domestiques
Libellé Code NAF :
Commerce de détail d'articles de sport et de loisir
Nature juridique :
Entrepreneur individuel
Localisation et contacts pour MONSIEUR JEAN SOUCRAMANIEN SINGY
Adresse postale :
Adresse masquée
97440 SAINT-ANDRE
97440 SAINT-ANDRE
Département :
La Réunion (974)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
La Réunion
Annonces légales BODACC pour MONSIEUR JEAN SOUCRAMANIEN SINGY
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 28/12/2008 | Annonce n°2965 du Bodacc Procédures Collectives n°20080238 | Voir l'annonce |
| 12/06/2009 | Annonce n°2796 du Bodacc Procédures Collectives n°20090111 | Voir l'annonce |
Établissements MONSIEUR JEAN SOUCRAMANIEN SINGY
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 48140884700012 | MONSIEUR JEAN SOUCRAMANIEN SINGY | Etablissement fermé le 29/08/2007 | Adresse masquée 97440 SAINT-ANDRE | 52.4W | Etablissement non employeur | 01/04/2005 |
