Entreprise MONSIEUR JEAN-MARC BOUCHER à CANCALE
L'activité de MONSIEUR JEAN-MARC BOUCHER (NET EMERAUDE 35), Entrepreneur individuel a démarré en 2007, il y a 18 ans. Elle est inscrite sous le SIREN 494817604. Elle est installée à CANCALE, 35260. Son code NAF attribué est le 6622Z (Activités des agents et courtiers d'assurances). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Informations légales sur MONSIEUR JEAN-MARC BOUCHER
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Date de création :
01/03/2007
Date mise à jour :
Activité de MONSIEUR JEAN-MARC BOUCHER
Code NAF :
Catégorie :
Activités auxiliaires de services financiers et d'assurance
Libellé Code NAF :
Activités des agents et courtiers d'assurances
Nature juridique :
Entrepreneur individuel
Localisation et contacts pour MONSIEUR JEAN-MARC BOUCHER
Adresse postale :
Adresse masquée
35260 CANCALE
35260 CANCALE
Département :
Ille-et-Vilaine (35)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
Bretagne
Annonces légales BODACC pour MONSIEUR JEAN-MARC BOUCHER
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 18/04/2010 | Annonce n°616 du Bodacc B n°20100075 | Voir l'annonce |
Activités associées au code NAF 6622Z
Services des agents et courtiers d'assurances
Établissements MONSIEUR JEAN-MARC BOUCHER
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 49481760400031 | NET EMERAUDE 35 | Siège | Adresse masquée 35260 CANCALE | 66.22Z (Activités des agents et courtiers d'assurances) | Unités non employeuses | 01/01/2023 |
| 49481760400023 | NET EMERAUDE 35 | Etablissement fermé le 01/01/2023 | Adresse masquée 35260 CANCALE | 33.15Z (Réparation et maintenance navale) | Etablissement non employeur | 19/04/2010 |
| 49481760400015 | MONSIEUR JEAN-MARC BOUCHER | Etablissement fermé le 31/03/2010 | Adresse masquée 35260 CANCALE | 55.10Z (Hôtels et hébergement similaire) | Etablissement non employeur | 01/03/2007 |
