Entreprise MONSIEUR DAVID BROYER à GARNERANS
L'année de création de MONSIEUR DAVID BROYER (LE JARDINIER DE VOS ENVIES), Entrepreneur individuel est 2006, il y a 19 ans. Elle a pour SIREN : 488139742. Elle est installée à GARNERANS, 01140. Le code NAF dont elle dispose est le 8130Z (Services d'aménagement paysager). Elle emploie entre 1 et 2 salariés. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Aménagement et entretiens d'espaces verts.
Informations légales sur MONSIEUR DAVID BROYER
Activité de MONSIEUR DAVID BROYER
Effectif :
1 ou 2 salariés
Activité principale déclarée :
Aménagement et entretiens d'espaces verts.
Code NAF :
Catégorie :
Services relatifs aux bâtiments et aménagement paysager
Libellé Code NAF :
Services d'aménagement paysager
Nature juridique :
Entrepreneur individuel
Localisation et contacts pour MONSIEUR DAVID BROYER
Adresse postale :
Adresse masquée
CHEMIN DE
01140 GARNERANS
CHEMIN DE
01140 GARNERANS
Département :
Ain (01)
Région :
Auvergne-Rhône-Alpes
Téléphone :
Inscrivez-vous pour voir le téléphone
Annonces légales BODACC pour MONSIEUR DAVID BROYER
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 08/04/2009 | Annonce n°45 du Bodacc A n°20090069 | Voir l'annonce |
Convention collective de MONSIEUR DAVID BROYER
IDCC :
IDCC 7018 (Mise à jour du 09/07/2024)
Convention collective nationale des entreprises du paysage.
OPCO :
OCAPIAT
Activités associées au code NAF 8130Z
Services de jardinage à domicile
Autres services d'aménagement paysager
Établissements MONSIEUR DAVID BROYER
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 48813974200024 | LE JARDINIER DE VOS ENVIES | Siège | Adresse masquée 01140 GARNERANS | 81.30Z (Services d'aménagement paysager) | 1 ou 2 salariés en 2023 | 01/03/2009 |
| 48813974200016 | MONSIEUR DAVID BROYER | Etablissement fermé le 01/03/2009 | Adresse masquée 71570 SAINT-SYMPHORIEN-D'ANCELLES | 81.30Z (Services d'aménagement paysager) | Etablissement non employeur | 01/02/2006 |
