Entreprise LE CLOS DE LA SAPINIERE à BRESSUIRE
LE CLOS DE LA SAPINIERE, Société à responsabilité limitée (sans autre indication), immatriculée sous le SIREN 448262014, a été fondée en 2003, il y a 22 ans. Son siège social est à BRESSUIRE (79300). Elle a pour code NAF : 551A (Hôtels touristiques avec restaurant). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Informations légales sur LE CLOS DE LA SAPINIERE
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
(⚠ Aucun établissement en activité)
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Date de création :
15/04/2003
Date mise à jour :
Activité de LE CLOS DE LA SAPINIERE
Code NAF :
Catégorie :
Hôtels et restaurants
Libellé Code NAF :
Hôtels touristiques avec restaurant
Nature juridique :
Société à responsabilité limitée (sans autre indication)
Localisation et contacts pour LE CLOS DE LA SAPINIERE
Adresse postale :
LA SAPINIERE
LA SAPINIERE
79300 BRESSUIRE
LA SAPINIERE
79300 BRESSUIRE
Département :
Deux-Sèvres (79)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
Dirigeants de la société LE CLOS DE LA SAPINIERE
Dirigeants mandataires de LE CLOS DE LA SAPINIERE
| Depuis le | Nom | Rôle |
|---|---|---|
| 22/04/2003 | Bernard JACQUET | Gérant |
| 22/04/2003 | Martine SINGLANDE | Gérant |
Annonces légales BODACC pour LE CLOS DE LA SAPINIERE
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 09/10/2016 | Annonce n°2570 du Bodacc B n°20160198 | Voir l'annonce |
| 05/01/2020 | Annonce n°1549 du Bodacc B n°20200003 | Voir l'annonce |
Établissements LE CLOS DE LA SAPINIERE
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 44826201400021 | LE CLOS DE LA SAPINIERE | Etablissement fermé le 10/07/2006 | LA SAPINIERE 79300 BRESSUIRE | 55.1A | Unités non employeuses | 01/05/2003 |
| 44826201400013 | LE CLOS DE LA SAPINIERE | Etablissement fermé le 25/12/2003 | GRAULES 47360 LAUGNAC | 00.0Z | Etablissement non employeur | 15/04/2003 |
