Entreprise CLM MANUTENTION à SAINT-QUENTIN
CLM MANUTENTION, Société à responsabilité limitée (sans autre indication), dont le SIREN est le 430256909, est en activité depuis 2000, il y a 25 ans. Son siège est domicilié à SAINT-QUENTIN (code postal 02100). Le code NAF dont elle dispose est le 292D (Fabrication d'équipements de levage et de manutention). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son objet social est : l'installation, le montage, l'entretien, la réparation de tous équipements de levage et de manutention.
Informations légales sur CLM MANUTENTION
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
(⚠ Aucun établissement en activité)
Observation :
Procédure collective en cours
Capital social :
8 000 EUR
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Date de création :
20/03/2000
Date mise à jour :
Activité de CLM MANUTENTION
Activité principale déclarée :
l'installation, le montage, l'entretien, la réparation de tous équipements de levage et de manutention.
Code NAF :
Catégorie :
Fabrication de machines et équipements
Libellé Code NAF :
Fabrication d'équipements de levage et de manutention
Nature juridique :
Société à responsabilité limitée (sans autre indication)
Localisation et contacts pour CLM MANUTENTION
Adresse postale :
2 RUE DE LA CHAUSSEE ROMAINE
02100 SAINT-QUENTIN
02100 SAINT-QUENTIN
Département :
Aisne (02)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
Nord-Pas-de-Calais-Picardie
Annonces légales BODACC pour CLM MANUTENTION
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 03/06/2011 | Annonce n°35 du Bodacc B n°20110108 | Voir l'annonce |
| 03/06/2011 | Annonce n°599 du Bodacc Procédures Collectives n°20110108 | Voir l'annonce |
Établissements CLM MANUTENTION
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 43025690900010 | CLM MANUTENTION | Etablissement fermé le 27/07/2004 | 2 RUE DE LA CHAUSSEE ROMAINE 02100 SAINT-QUENTIN | 29.2D | Unités non employeuses | 20/03/2000 |
