Entreprise CHANTAL à BESANCON
CHANTAL, Société civile immobilière , immatriculée sous le SIREN 481741551, a été fondée en 2005, il y a 20 ans. Elle est domiciliée à BESANCON, code postal 25000. Elle a pour code NAF : 6630Z (Gestion de fonds). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Acquisition détention gestion et cession de participations financières de portefeuilles d'actions de parts sociales ou d'intérêts d'obligations de certificats d'investissements et plus généralement de toutes valeurs mobilières. Acquisition par voie d'achat ou d'apport de tous biens immobiliers bâtis ou non, l'administration, par voie de location, concession ou autrement, de tout ou partie des immeubles, lots, emplacements lui appartenant ou dont elle pourrait devenir propriétaire.
Informations légales sur CHANTAL
Activité de CHANTAL
Localisation et contacts pour CHANTAL
25000 BESANCON
Annonces légales BODACC pour CHANTAL
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 02/03/2010 | Annonce n°677 du Bodacc B n°20100042 | Voir l'annonce |
| 25/02/2011 | Annonce n°732 du Bodacc B n°20110040 | Voir l'annonce |
| 10/02/2013 | Annonce n°653 du Bodacc B n°20130029 | Voir l'annonce |
| 23/08/2013 | Annonce n°578 du Bodacc B n°20130162 | Voir l'annonce |
| 05/08/2016 | Annonce n°1029 du Bodacc B n°20160153 | Voir l'annonce |
| 23/05/2023 | Annonce n°594 du Bodacc B n°20230098 | Voir l'annonce |
Activités associées au code NAF 6630Z
Services de gestion de portefeuilles, à l'exclusion des fonds de pension
Services de gestion des fonds de pension
Établissements CHANTAL
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 48174155100024 | CHANTAL | Siège | Adresse masquée 25000 BESANCON | 66.30Z (Gestion de fonds) | Etablissement non employeur | 15/07/2016 |
| 48174155100016 | CHANTAL | Etablissement fermé le 15/07/2016 | Adresse masquée 25530 LANDRESSE | 66.30Z (Gestion de fonds) | Etablissement non employeur | 28/03/2005 |
