Entreprise ACPB PRESQU'ILE à LA BAULE-ESCOUBLAC
ACPB PRESQU'ILE est une Société à responsabilité limitée (sans autre indication) immatriculée sous le SIREN 480932250. Elle a été fondée il y a 20 ans en 2005. Le siège social est établi à LA BAULE-ESCOUBLAC (le code postal est le 44500). Elle a pour code NAF : 453A (Travaux d'installation électrique). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son objet social est : négoce et pose de matériel de protection des biens systèmes d'alarme serrurerie.
Informations légales sur ACPB PRESQU'ILE
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
(⚠ Aucun établissement en activité)
Observation :
Procédure collective en cours
Capital social :
18 000 EUR
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Date de création :
01/03/2005
Date mise à jour :
Activité de ACPB PRESQU'ILE
Activité principale déclarée :
négoce et pose de matériel de protection des biens systèmes d'alarme serrurerie.
Code NAF :
Catégorie :
Construction
Libellé Code NAF :
Travaux d'installation électrique
Nature juridique :
Société à responsabilité limitée (sans autre indication)
Localisation et contacts pour ACPB PRESQU'ILE
Adresse postale :
4 PLACE LAFAYETTE
44500 LA BAULE-ESCOUBLAC
44500 LA BAULE-ESCOUBLAC
Département :
Loire-Atlantique (44)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
Pays de la Loire
Annonces légales BODACC pour ACPB PRESQU'ILE
| Date | Annonce | |
|---|---|---|
| 04/02/2010 | Annonce n°839 du Bodacc B n°20100024 | Voir l'annonce |
| 26/06/2008 | Annonce n°2286 du Bodacc Procédures Collectives n°20080111 | Voir l'annonce |
| 04/02/2010 | Annonce n°1373 du Bodacc Procédures Collectives n°20100024 | Voir l'annonce |
Établissements ACPB PRESQU'ILE
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 48093225000016 | ACPB PRESQU'ILE | Etablissement fermé le 28/02/2007 | 4 PLACE LAFAYETTE 44500 LA BAULE-ESCOUBLAC | 45.3A | Etablissement non employeur | 01/03/2005 |
