Entreprise MONSIEUR MARTIAL PICOT à CHATEAUBRIANT

MONSIEUR MARTIAL PICOT, Entrepreneur individuel, immatriculée sous le SIREN 318034394, a été fondée en 1980, il y a 45 ans. Elle est domiciliée à CHATEAUBRIANT, code postal 44110. Elle a pour code NAF : 3313Z (Réparation de matériels électroniques et optiques). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.

Informations légales sur MONSIEUR MARTIAL PICOT

Nom :
MONSIEUR MARTIAL PICOT
SIREN :
318034394
SIRET :
31803439400078
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
N° de TVA :
FR39318034394
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Date de création :
01/01/1980
Date mise à jour :

Activité de MONSIEUR MARTIAL PICOT

Code NAF :
3313Z
Catégorie :
Réparation et installation de machines et d'équipements
Libellé Code NAF :
Réparation de matériels électroniques et optiques
Nature juridique :
Entrepreneur individuel

Localisation et contacts pour MONSIEUR MARTIAL PICOT

Adresse postale :
Adresse masquée
44110 CHATEAUBRIANT
Département :
Loire-Atlantique (44)
Région :
Pays de la Loire
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
localisation de l'entreprise MONSIEUR MARTIAL PICOT à CHATEAUBRIANT

Activités associées au code NAF 3313Z

Réparation et entretien d'instruments et d'appareils de mesure, d'essai et de navigation

Réparation et entretien d'équipements d'irradiation médicale, d'équipements, électromédicaux et électrothérapeutiques

Réparation et entretien de matériel optique et photographique professionnel

Réparation et entretien d'autres équipements électroniques professionnels

Établissements MONSIEUR MARTIAL PICOT

SIRET Nom Type d'établissement Adresse Code NAF Effectif Date de création
31803439400078 MONSIEUR MARTIAL PICOT Siège Adresse masquée 44110 CHATEAUBRIANT 33.13Z (Réparation de matériels électroniques et optiques) Etablissement non employeur 05/03/2025
31803439400052 [ND] Etablissement fermé le 30/06/2004 Adresse masquée 44110 CHATEAUBRIANT 74.1J Etablissement non employeur 01/03/2002