Entreprise MONSIEUR JEAN SCHAEFFER à LEGE-CAP-FERRET
MONSIEUR JEAN SCHAEFFER est une Entrepreneur individuel. Le SIREN qui lui a été attribué est le 483761235. Son année de création est 2005, il y a 20 ans. Son siège social est domicilié à LEGE-CAP-FERRET - 33950. Son code NAF attribué est le 4619B (Autres intermédiaires du commerce en produits divers). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Autres intermédiaires du commerce en produits divers.
Informations légales sur MONSIEUR JEAN SCHAEFFER
Activité de MONSIEUR JEAN SCHAEFFER
Activité principale déclarée :
Autres intermédiaires du commerce en produits divers.
Code NAF :
Catégorie :
Commerce de gros, à l'exception des automobiles et des motocycles
Libellé Code NAF :
Autres intermédiaires du commerce en produits divers
Nature juridique :
Entrepreneur individuel
Localisation et contacts pour MONSIEUR JEAN SCHAEFFER
Adresse postale :
Adresse masquée
33950 LEGE-CAP-FERRET
33950 LEGE-CAP-FERRET
Département :
Gironde (33)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
Activités associées au code NAF 4619B
Services d'intermédiaire du commerce de gros de produits divers
Établissements MONSIEUR JEAN SCHAEFFER
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 48376123500033 | MONSIEUR JEAN SCHAEFFER | Etablissement fermé le 19/02/2020 | Adresse masquée 33950 LEGE-CAP-FERRET | 46.19B (Autres intermédiaires du commerce en produits divers) | Etablissement non employeur | 19/02/2020 |
| 48376123500025 | MONSIEUR JEAN SCHAEFFER | Siège | Adresse masquée 33950 LEGE-CAP-FERRET | 46.19B (Autres intermédiaires du commerce en produits divers) | Etablissement non employeur | 14/11/2017 |
| 48376123500017 | MONSIEUR JEAN SCHAEFFER | Etablissement fermé le 14/11/2017 | Adresse masquée 33360 QUINSAC | 46.19B (Autres intermédiaires du commerce en produits divers) | Etablissement non employeur | 01/08/2005 |
