Entreprise MONSIEUR JEAN LE CORRE à PARIS
L'activité de MONSIEUR JEAN LE CORRE, Entrepreneur individuel a démarré en 1996, il y a 29 ans. Elle est inscrite sous le SIREN 412208464. Son siège est domicilié à PARIS (code postal 75015). Son code NAF attribué est le 7112B (Ingénierie, études techniques). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Ingénierie, études techniques.
Informations légales sur MONSIEUR JEAN LE CORRE
Activité de MONSIEUR JEAN LE CORRE
Localisation et contacts pour MONSIEUR JEAN LE CORRE
BATIMENT A - 4IEME ETAGE
75015 PARIS
Inscrivez-vous pour voir le téléphone
Activités associées au code NAF 7112B
Services de conseil en ingénierie
Services d'ingénierie pour projets de constructions
Services d'ingénierie pour projets énergétiques
Services d'ingénierie pour projets d'infrastructures de transport
Services d'ingénierie pour projets de gestion des déchets (dangereux ou non)
Services d'ingénierie pour projets d'alimentation en eau, d'assainissement et de drainage
Services d'ingénierie pour projets industriels et manufacturiers
Services d'ingénierie pour projets de télécommunications et de radiodiffusion et télédiffusion
Services d'ingénierie pour autres projets
Services de gestion de projet pour projets de constructions
Services de conseil géologique et géophysique
Services géophysiques
Services d'exploration et d'évaluation minérales
Services de prospection de surface
Services d'établissement de cartes
Établissements MONSIEUR JEAN LE CORRE
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 41220846400021 | MONSIEUR JEAN LE CORRE | Siège | Adresse masquée 75015 PARIS | 71.12B (Ingénierie, études techniques) | Etablissement non employeur | 20/10/2016 |
| 41220846400013 | MONSIEUR JEAN LE CORRE | Etablissement fermé le 31/12/2010 | Adresse masquée 60270 GOUVIEUX | 68.20B (Location de terrains et d'autres biens immobiliers) | Etablissement non employeur | 31/12/1996 |
