Entreprise MONSIEUR HERVE PERCEVAUX à LE RELECQ-KERHUON
MONSIEUR HERVE PERCEVAUX, Entrepreneur individuel, immatriculée sous le SIREN 432305209, a été fondée en 2000, il y a 25 ans. LE RELECQ-KERHUON est la ville où est établi son siège social. Le code postal est le 29480. Elle a pour code NAF : 8690E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Activités des professionnels de la rééducation, de l’appareillage et des pédicures-podologues.
Informations légales sur MONSIEUR HERVE PERCEVAUX
Activité de MONSIEUR HERVE PERCEVAUX
Localisation et contacts pour MONSIEUR HERVE PERCEVAUX
29480 LE RELECQ-KERHUON
Activités associées au code NAF 8690E
Services liés à la grossesse
Services de soins infirmiers
Services de physiothérapie
Services d'ambulances
Services de laboratoires médicaux
Services de banques de sang, de sperme et d'organes
Services d'imagerie diagnostique sans interprétation
Services de soins psychiatriques
Autres services de santé humaine n.c.a.
Établissements MONSIEUR HERVE PERCEVAUX
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 43230520900046 | MONSIEUR HERVE PERCEVAUX | Siège | Adresse masquée 29480 LE RELECQ-KERHUON | 86.90E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues) | Etablissement non employeur | 28/02/2015 |
| 43230520900038 | MONSIEUR HERVE PERCEVAUX | Etablissement fermé le 28/02/2015 | Adresse masquée 29480 LE RELECQ-KERHUON | 86.90E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues) | Etablissement non employeur | 30/07/2002 |
| 43230520900020 | MONSIEUR HERVE PERCEVAUX | Etablissement fermé le 30/07/2002 | Adresse masquée 29470 LOPERHET | 85.1G | Etablissement non employeur | 02/11/2000 |
| 43230520900012 | MONSIEUR HERVE PERCEVAUX | Etablissement fermé le 25/12/2000 | Adresse masquée 22300 ROSPEZ | 85.1G | Etablissement non employeur | 07/07/2000 |
