Entreprise MADEMOISELLE MILY à MARCQ-EN-BARŒUL
L'activité de MADEMOISELLE MILY (MADEMOISELLE MILY), Société à responsabilité limitée (sans autre indication) a démarré en 2007, il y a 18 ans. Elle est inscrite sous le SIREN 494300015. Elle est installée à MARCQ-EN-BARŒUL, 59700. Son code NAF attribué est le 9602A (Coiffure). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : VENTE DE SERVICES ET PRODUITS EN RAPPORT AVEC L'ACTIVITE DE COIFFURE MIXTE, VENTE DE BIJOUX FANTAISIE.
Informations légales sur MADEMOISELLE MILY
Activité de MADEMOISELLE MILY
En 2023, MADEMOISELLE MILY a réalisé un chiffre d'affaire de 48889 Euros et un résultat de 2664 Euros.
Localisation et contacts pour MADEMOISELLE MILY
59700 MARCQ-EN-BARŒUL
Inscrivez-vous pour voir le téléphone
Site web principal de MADEMOISELLE MILY
Inscrivez-vous pour voir le site
Mademoiselle Mily coiffeur à Marcq-en-Baroeul - 59700
Vous êtes à la recherche d'un salon de coiffure mixte qui propose un service professionnel et des prestations de qualité à Marcq-en-Baroeul ? Mademoiselle Mily est l'endroit idéal pour profiter d'une prise en charge personnalisée et d'un service sur mesure....
Dirigeants de la société MADEMOISELLE MILY
Dirigeants mandataires de MADEMOISELLE MILY
| Depuis le | Nom | Rôle |
|---|---|---|
| 21/02/2017 | Emilie ALSBERGHE | Gérant |
| 13/04/2022 | Emilie ALSBERGHE | Gérant |
Activités associées au code NAF 9602A
Services de coiffure pour femmes et fillettes
Services de coiffure pour hommes et garçonnets
Soins esthétiques, de manucure et de pédicure
Services de coiffure, de soins esthétiques, de manucure et de pédicure à domicile
Autres soins de beauté
Cheveux humains, non travaillés
Établissements MADEMOISELLE MILY
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 49430001500018 | MADEMOISELLE MILY | Siège | 25 RUE DE L'ABBE LEMIRE 59700 MARCQ-EN-BARŒUL | 96.02A (Coiffure) | Etablissement non employeur | 02/02/2007 |
