Entreprise MADAME SOPHIE LECLUZE à TIGERY
MADAME SOPHIE LECLUZE est une Entrepreneur individuel immatriculée sous le SIREN 399730738. Elle a été fondée il y a 30 ans en 1995. Elle est domiciliée à TIGERY, code postal 91250. Elle a pour code NAF : 6622Z (Activités des agents et courtiers d'assurances). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : mandataire en assurances auprès des particuliers et des TNS, service de courtage.
Informations légales sur MADAME SOPHIE LECLUZE
Activité de MADAME SOPHIE LECLUZE
Activité principale déclarée :
mandataire en assurances auprès des particuliers et des TNS, service de courtage.
Code NAF :
Catégorie :
Activités auxiliaires de services financiers et d'assurance
Libellé Code NAF :
Activités des agents et courtiers d'assurances
Nature juridique :
Entrepreneur individuel
Localisation et contacts pour MADAME SOPHIE LECLUZE
Adresse postale :
Adresse masquée
91250 TIGERY
91250 TIGERY
Département :
Essonne (91)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
Ile-de-France
Activités associées au code NAF 6622Z
Services des agents et courtiers d'assurances
Établissements MADAME SOPHIE LECLUZE
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 39973073800057 | MADAME SOPHIE LECLUZE | Siège | Adresse masquée 91250 TIGERY | 66.22Z (Activités des agents et courtiers d'assurances) | Etablissement non employeur | 01/03/2011 |
| 39973073800040 | MADAME SOPHIE LECLUZE | Etablissement fermé le 31/10/2010 | Adresse masquée 91480 VARENNES-JARCY | 71.12B (Ingénierie, études techniques) | Etablissement non employeur | 01/09/2010 |
| 39973073800032 | MADAME SOPHIE LECLUZE | Etablissement fermé le 03/05/2006 | Adresse masquée 91480 VARENNES-JARCY | 67.2Z | Etablissement non employeur | 09/05/2005 |
| 39973073800024 | MADAME SOPHIE LECLUZE | Etablissement fermé le 30/09/2000 | Adresse masquée 91480 VARENNES-JARCY | 74.8F | Etablissement non employeur | 20/12/1998 |
