Entreprise MADAME NADEGE BLIGNE à PLOUBEZRE
MADAME NADEGE BLIGNE, Entrepreneur individuel, immatriculée sous le SIREN 442951067, a été fondée en 2002, il y a 23 ans. Son siège social est domicilié à PLOUBEZRE - 22300. Elle a pour code NAF : 8690E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Activités des professionnels de la rééducation, de l’appareillage et des pédicures-podologues.
Informations légales sur MADAME NADEGE BLIGNE
Activité de MADAME NADEGE BLIGNE
Localisation et contacts pour MADAME NADEGE BLIGNE
22300 PLOUBEZRE
Inscrivez-vous pour voir le téléphone
Activités associées au code NAF 8690E
Services liés à la grossesse
Services de soins infirmiers
Services de physiothérapie
Services d'ambulances
Services de laboratoires médicaux
Services de banques de sang, de sperme et d'organes
Services d'imagerie diagnostique sans interprétation
Services de soins psychiatriques
Autres services de santé humaine n.c.a.
Établissements MADAME NADEGE BLIGNE
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 44295106700044 | MADAME NADEGE BLIGNE | Siège | Adresse masquée 22300 PLOUBEZRE | 86.90E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues) | Etablissement non employeur | 01/10/2011 |
| 44295106700028 | MADAME NADEGE BLIGNE | Etablissement fermé le 01/10/2011 | Adresse masquée 22300 LANNION | 86.90E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues) | Etablissement non employeur | 01/10/2002 |
| 44295106700036 | MADAME NADEGE BLIGNE | Etablissement fermé le 01/10/2011 | Adresse masquée 22420 LE VIEUX-MARCHE | 86.90E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues) | Etablissement non employeur | 01/10/2002 |
| 44295106700010 | MADAME NADEGE BLIGNE | Etablissement fermé le 25/12/2002 | Adresse masquée 35200 RENNES | 85.1G | Etablissement non employeur | 01/08/2002 |
