Entreprise MADAME JACQUELINE DAGUT à SAINTE-TERRE
MADAME JACQUELINE DAGUT, Entrepreneur individuel, dont le SIREN est le 400941159, est en activité depuis 1995, il y a 30 ans. Elle est installée à SAINTE-TERRE, 33350. Le code NAF dont elle dispose est le 526E (Commerce de détail non alimentaire sur éventaires et marchés). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Activité déduite de la reconstitution des données. Il vous est demandé de la reformuler.
Informations légales sur MADAME JACQUELINE DAGUT
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
(⚠ Aucun établissement en activité)
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Date de création :
01/05/1995
Date mise à jour :
Activité de MADAME JACQUELINE DAGUT
Activité principale déclarée :
Activité déduite de la reconstitution des données. Il vous est demandé de la reformuler.
Code NAF :
Catégorie :
Commerce de détail et réparation d'articles domestiques
Libellé Code NAF :
Commerce de détail non alimentaire sur éventaires et marchés
Nature juridique :
Entrepreneur individuel
Localisation et contacts pour MADAME JACQUELINE DAGUT
Adresse postale :
Adresse masquée
33350 SAINTE-TERRE
33350 SAINTE-TERRE
Département :
Gironde (33)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
Établissements MADAME JACQUELINE DAGUT
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 40094115900032 | MADAME JACQUELINE DAGUT | Etablissement fermé le 25/12/1998 | Adresse masquée 33350 SAINTE-TERRE | 52.6E | Etablissement non employeur | 02/05/1998 |
| 40094115900024 | MADAME JACQUELINE DAGUT | Etablissement fermé le 02/05/1998 | Adresse masquée 33330 SAINT-EMILION | 52.4Z | Etablissement non employeur | 05/11/1995 |
| 40094115900016 | MADAME JACQUELINE DAGUT | Etablissement fermé le 25/12/1995 | Adresse masquée 33330 SAINT-EMILION | 52.6E | Etablissement non employeur | 01/05/1995 |
