Entreprise MADAME GAELLE GUSTON à FONTENAY-LE-COMTE
L'activité de MADAME GAELLE GUSTON, Entrepreneur individuel a démarré en 2002, il y a 23 ans. Elle est inscrite sous le SIREN 444946461. Elle est domiciliée à FONTENAY-LE-COMTE, code postal 85200. Son code NAF attribué est le 8690E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Activités des professionnels de la rééducation, de l’appareillage et des pédicures-podologues.
Informations légales sur MADAME GAELLE GUSTON
Activité de MADAME GAELLE GUSTON
Localisation et contacts pour MADAME GAELLE GUSTON
85200 FONTENAY-LE-COMTE
Inscrivez-vous pour voir le téléphone
Activités associées au code NAF 8690E
Services liés à la grossesse
Services de soins infirmiers
Services de physiothérapie
Services d'ambulances
Services de laboratoires médicaux
Services de banques de sang, de sperme et d'organes
Services d'imagerie diagnostique sans interprétation
Services de soins psychiatriques
Autres services de santé humaine n.c.a.
Établissements MADAME GAELLE GUSTON
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 44494646100043 | MADAME GAELLE GUSTON | Siège | Adresse masquée 85200 FONTENAY-LE-COMTE | 86.90E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues) | Etablissement non employeur | 01/06/2011 |
| 44494646100035 | MADAME GAELLE GUSTON | Etablissement fermé le 01/06/2011 | Adresse masquée 85770 LES VELLUIRE-SUR-VENDEE | 86.90E (Activité profess. rééducation appareillage & pédicures-podologues) | Etablissement non employeur | 19/02/2007 |
| 44494646100027 | MADAME GAELLE GUSTON | Etablissement fermé le 01/12/2005 | Adresse masquée 85200 FONTENAY-LE-COMTE | 85.1G | Etablissement non employeur | 24/10/2005 |
| 44494646100019 | MADAME GAELLE GUSTON | Etablissement fermé le 24/10/2005 | Adresse masquée 59410 ANZIN | 85.1G | Etablissement non employeur | 16/12/2002 |
