Entreprise LOU PITCHOUN à NICE
LOU PITCHOUN, Société civile immobilière de construction-vente, dont le SIREN est le 435070065, est en activité depuis 2001, il y a 24 ans. Son siège social est domicilié à NICE - 06100. Le code NAF dont elle dispose est le 4110D (Supports juridiques de programmes). Elle n'emploie pas de salarié. Elle n'a pas d'établissement secondaire actif.
Son activité principale déclarée est : Acquisition exploitation de biens immobiliers ou mobiliers location desdits biens et notamment biens à Nice 430 Rte de Pessicart.
Informations légales sur LOU PITCHOUN
Type d'établissement :
Siège
Statut INSEE :
Active
(Ce numéro a été calculé automatiquement et est fourni à titre indicatif).
Cette entreprise fait partie de l'Économie sociale et solidaire (ESS).
Date de création :
15/03/2001
Date mise à jour :
Activité de LOU PITCHOUN
Activité principale déclarée :
Acquisition exploitation de biens immobiliers ou mobiliers location desdits biens et notamment biens à Nice 430 Rte de Pessicart.
Code NAF :
Catégorie :
Construction de bâtiments
Libellé Code NAF :
Supports juridiques de programmes
Nature juridique :
Société civile immobilière de construction-vente
Localisation et contacts pour LOU PITCHOUN
Adresse postale :
430 AVENUE DE PESSICART
06100 NICE
06100 NICE
Département :
Alpes-Maritimes (06)
Région :
Nous n'avons pas encore trouvé de contact.
Provence-Alpes-Côte d'Azur
Dirigeants de la société LOU PITCHOUN
Dirigeants mandataires de LOU PITCHOUN
| Depuis le | Nom | Rôle |
|---|---|---|
| 23/03/2001 | Isabelle VOLPE | Gérant |
| 13/10/2020 | Isabelle VOLPE | Gérant |
| 13/10/2020 | Jean CIBERT | Associé |
| 13/10/2020 | Gauthier CIBERT VOLPE | Associé |
| 13/10/2020 | Florian CIBERT VOLPE | Associé |
Établissements LOU PITCHOUN
| SIRET | Nom | Type d'établissement | Adresse | Code NAF | Effectif | Date de création |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 43507006500014 | LOU PITCHOUN | Siège | 430 AVENUE DE PESSICART 06100 NICE | 41.10D (Supports juridiques de programmes) | Etablissement non employeur | 15/03/2001 |
